Améliorer à tous niveaux les dispositifs de communication et de prises de décisions et maintenir un équilibre budgétaire.
Renforcer le principe d’une gouvernance transparente et participative, notamment en organisant annuellement un séminaire d’établissement en présentiel, ouvert à tous les personnels, pour débattre sur le fonctionnement de notre établissement et sa nécessaire évolution, ainsi que les orientations à prendre ; avec l’engagement d’étudier toute proposition venant directement des acteurs du terrain.
Conformément aux fortes recommandations de l’HCERES, il conviendra de formaliser des priorités pour l’établissement, de les justifier et de les faire connaitre à tous.
Travailler en amont avec l’ensemble des organisations représentatives du personnel, et les parties prenantes impliquées, sur les grands chantiers de notre université et en particulier la question des modes de travail, incluant le télétravail. Nous proposerons notamment la construction d’un groupe de travail entre tous les groupes représentants les personnels afin de mieux définir les grands projets de la politique des ressources humaines en amont des Comités Social d’Administration (CSA).
Mettre en place une politique de transparence et de véritable équité pour les promotions des personnels de l’université, enseignants-chercheurs, enseignants du second degré et BIATSS, qui s’appuiera sur les Lignes Directrices de Gestion (LDG), qui dans un souci d’équité pourront être renforcées au regard des exercices précédents.
Poursuivre avec les organisations syndicales et les personnels le travail portant sur le régime indemnitaire en tenant compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel (Rifseep) des personnels BIATSS. Initier, avec les représentants des personnels et les différentes parties prenantes une réflexion relative à la mise en place du complément indemnitaire annuel (CIA), comme préconisé dans le rapport HCERES.
Mettre en place les conditions d’un équilibre budgétaire indispensable au pilotage de l’université.
Le comité HCERES qui a évalué récemment notre université a émis un certain nombre de recommandations : travail sur la soutenabilité de l’offre de formation, en relation avec les composantes ; développement de la formation continue pour permettre un accroissement des ressources propres, tout en autorisant les composantes à conserver le bénéfice d’une partie des recettes qu’elles génèrent.
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Appliquer résolument le principe de proximité, de confiance et de subsidiarité en donnant davantage d’autonomie et de pouvoir décisionnel aux composantes de notre établissement.
Repenser les relations entre les composantes et les services centraux pour plus d’efficience et de rapidité dans le traitement des dossiers. Définir préalablement et clairement ce qui doit relever des composantes et ce qui doit relever des services centraux. Si la stratégie ou les actes de gestion courants peuvent relever d’un niveau central, il sera nécessaire de redonner de nouvelles responsabilités aux composantes afin de renforcer leurs missions de proximité.
Renforcer les liens entre l’équipe présidentielle et les composantes en mettant en place des réunions qui associeront également DGS et responsables de services. Repenser l’organisation des services de l’université pour favoriser la transversalité et limiter le travail en silo.
Repenser le dialogue de gestion avec les composantes en en faisant un véritable contrat d’objectifs et de moyens et en y intégrant une discussion sur l’évolution de la composante au cours des prochaines années.
Renforcer la communication vers l’ensemble des personnels, enseignants-chercheurs, chercheurs et BIATSS, sur la prise de décisions impliquant des changements dans l’université.
Avoir une politique volontaire de simplification administrative des procédures chaque fois que cela sera possible.
De nombreuses procédures administratives sont devenues trop complexes, à l’instar des demandes de missions mais aussi de beaucoup d’autres. Des simplifications de ces procédures seront introduites, dans le respect des règles juridiques.
Appliquer des délais raisonnables dans l’exécution des tâches administratives. Actuellement, il est trop souvent nécessaire d’agir dans l’urgence, notamment dans les processus multi-étapes.
Accompagner les assistants et assistantes de prévention dans leurs missions en les aidant à travailler en réseau, permettant des échanges de bonnes pratiques, et mieux valoriser ces missions essentielles au bon fonctionnement de l’établissement.
Mettre en place une demi-journée d’information sur la sécurité et la santé au travail pour sensibiliser et informer l’ensemble des personnels.
Accompagner le Service de Santé Universitaire (SSU) de notre établissement vers son évolution en Service de Santé Etudiante (SSE) sans alourdir les charges pour notre établissement.
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Renforcer nos liens avec le CHU de Tours par une participation active au comité de la Recherche Biomédicale et de Santé Publique (CRBSP) et une volonté affirmée de porter des projets en commun.
Mettre à profit la Convention de Coordination Territoriale établie avec l’université d’Orléans et l’INSA Centre Val de Loire pour mieux structurer l’enseignement supérieur et la recherche en Région Centre Val de Loire, en étant force de proposition pour développer des actions communes et converger vers une harmonisation des modes de gestion des structures partagées.
Suivre l’avancée et évaluer l’impact des grands projets dans lesquels l’établissement est engagé.